]Mika se recroquevilla contre le mur, tremblottante et les yeux embuer de larmes. Elle venait de se réfugié dans une petite chambre grisatre qui possèdait quelque meuble en assez mauvais était et un unique lit. Elle enfuit sa petite tête contre ses jambes fines et fit de son mieux pour se remettre de la frayeur qu'elle avait eu. Takeshi l'avait, au début, en criant de la sorte et ce fut une très mauvaise surprise que de se retourner vers le blond pour lui dire de se taire.

Takuro...Allait-il va bien? Avait-il vu aussi cet chose? Si il lui arrivait quelque chose, elle ne pardonnerait jamais takeshi, car oui, tout était la faute de cet idiot. Ce fils à papa avait proposé l'entré dans ce manoir et takuro avait accepté au lieu d'aller en rendez-vous avec elle. Elle avait une rancoeur pour le blond déjà pour ça. Et si par dessus le marché, ils risquaient tous là mort elle le hanterait jusqu'à sa monté au cieux, parole de Mika.

Elle releva la tête et d'un regard perçant, elle fixait la porte. Et si elle sortait, pour se cacher ailleurs, on ne sais jamais. Et si elle croisait takeshi? Elle lui dirait le fond de sa pensé. Comme ça, il arrêtera de gâcher sa relation avec takuro.

Mika aimait Takuro, maintenant depuis 3 ans. Elle avait toujours eux peur de s'approcher de lui et le jour où elle avait réussi à lui confié ses sentiments, ceux du garçon au cheveux aubrun prétendait être réciproque, pourtant cela empêchais pas le Don Juan du collège à faire le pitre et passer une bonne partie avec ses amies ce qui provoquait une certaine jalousie chez la collégienne. Mais malgré tout son amours pour ce garçon espiègle n'avait jamais cesser de battre au fond de son coeur. Elle devait allait aidé takuro.

Elle se leva et dirigea vers cette fameuse porte qu'elle avait fixer il y a quelque instant, avec un sourire étrange au lèvre. Son esprit partagé en deux.  Si elle apercevait takuro, elle ferait tout pour le sauvé. Si elle voyait takeshi, il allait payé, payé pour avoir osé s'imiscer dans sa relation avec takuro et d'avoir risqué leur vie.